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 Parce qu'il n'est pas qu'un simple "Pasta" | Valerio.

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Valerio Panzani

Valerio Panzani

Pastaaaaa Powa ~

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MessageSujet: Parce qu'il n'est pas qu'un simple "Pasta" | Valerio.   Parce qu'il n'est pas qu'un simple "Pasta" | Valerio. EmptyVen 11 Mai - 21:55

Valerio Panzani


Des pattes, des pattes, oui mais des Panzani !

Parce qu'il n'est pas qu'un simple "Pasta" | Valerio. 293324VAL

    ♠ Nom : Panzani
    ♠ Prénom : Valerio
    ♠ Sexe : HERMAPHRODITE OUAIS. homme o/

    ♠ Age : 19 ans
    ♠ Nationalité : italien
    ♠ Orientation Sexuelle : bi et ambi o/

    ♠ Profession : étudiant et livreur de pattes
    ♠ Groupe : Civils
    ♠ Rang : Pastaaaaaa Powa ~
    ♠ Personnage sur l'avatar : Takakura Shouma, de Mawaru Penguindrum



Description
Tu es plutôt grand. Voire même très grand comparé aux japonais. Faut dire que t’es italien aussi. Donc forcément, la taille change. Donc tu es très grand, et donc pas du tout discret. Avec ta peau plutôt blanche, en plus, et tes yeux verts, on remarque immédiatement que tu es un étranger. C’est tellement flagrant faut dire. Mais toi, tu ne veux pas te faire remarquer. Tu n’aimes pas ça. Tu préfères réussir à être transparent, qu’on ne sache pas qui tu es. Mais voilà. En plus de tout le reste, ta couleur que tu te fais, n’est pas non plus des plus habituelles. Tu ne vas pas me dire, mais tout de même ! Qui a l’idée de se faire une couleur violet foncé, hein ? Il n’y a que toi pour faire ça. Une couleur unique. Mais ça, tu as tes raisons. De toute façon, tu ne diras rien. Non, rien.

Tu es musclé. Oui, tu l’es. Même si cela ne se remarque pas, à cause de ta carrure. Tu n’es pas très gros, et pourtant, tes muscles ne ressortent pas. Pourtant tu fais du basket, et ça te muscle, ça oui. Mais ça ne se remarque pas. C’est de famille, tu le sais, pourtant…

Tu as de grands yeux verts, où l’on peut lire chacune de tes émotions. Alors que ton visage n’est pas très expressif lorsque tu es avec quelqu’un que tu ne connais pas, il est vrai que tes yeux aident vraiment à la compréhension. Cependant, lorsque tu connais la personne, ton sourire est constamment là. Tu n’as pas peur de montré tes vraies émotions. De rire, de pleurer … Tu aimes vivre. Et tu aimes le montrer. Même si tu te caches devant les inconnus.



Mental
La vie, c’est nulle. La vie, c’est magique. La vie, c’est méchant. La vie, c’est irrationnel. La vie, ça sert qu’à te blesser. La vie, ça te met du baume au cœur. La vie, c’est que du bonheur éphémère. La vie, c’est une salope.

Pour toi, c’est tout ça, la vie. Tu la détestes autant que tu l’aimes. Tu ne saurais pas comment tu réagirais, si on te demandait si tu pouvais te suicider. Sûrement que tu dirais au début « oui, je peux le faire. ». Mais après, tu réfléchirais aux conséquences que cela aurait sur toi, et sur ton entourage. Dis, tu sais que tu es mal-aimé, pas vrai ? Les japonais, ils te trouvent bizarre, avec ta couleur violette. Il trouve ça louche. T’as la réputation d’un voyou. Et tu sais, chez toi, ton chez toi, en Italie ? Ben là-bas aussi, on ne t’aime pas. Tout ça parce que t’es le fils des Panzani. Parce que ta famille est riche. Et que tout le monde envie les riches. Donc t’as toujours été exclus. Mais ce n’est pas pour autant que tu veux te suicider.

Tu sais. Beaucoup de gens te détestent. Mais autant t’apprécient. Seulement ça, tu ne le vois pas. Tu penses que tout le monde te déteste. On t’a tellement répété quand tu étais enfant, qu’on te détestait, qu’on ne voulait pas de toi, que t’étais inutile à la vie de tous les jours, qu’à force, c’est resté graver dans ton cœur. Même maintenant, que tu es presque adulte, tu fonctionnes de cette manière, quand tu rencontres quelqu’un. « Oh, encore un qui me déteste. Un de plus ou un de moins de toute façon … J’en suis plus à ça près. » Quand tu penses ça, tu te donnes l’impression d’être un gros blasé de la vie, un je-m’en-foutiste en herbe. Alors qu’en fait, ce n’est absolument pas ça.

Le fait que l’on te donne des surnoms, ça te blesse. Surtout lorsqu’il s’agit de surnoms méchants. Ça te fait mal, là, au cœur. Même si tu ne le dis pas, que tu gardes tout pour toi. Car t’es comme ça, toi. Quand tu ne connais pas les gens, et même quand tu les connais, les sentiments que tu éprouves, tel que la tristesse, ou les choses qui te dérangent, tu les gardes. Tu ne veux pas en faire part. Tu ne veux pas les déranger avec ça. Non non, tu ne veux pas. Alors ça s’accumule, s’accumule … Et puis un jour, tout sortira, d’une manière ou d’une autre. Tu le sais, tu en es conscient. C’est déjà ça.

Tu es sensible. Pour tout et n’importe quoi. Tu l’es. Que l’on te parle d’un chat abandonné, tu vas te sentir triste, car tu te compareras à lui. En fait, quoi qu’on dise, quelque soit la situation que l’on énonce, tu te demandes toujours, comment toi, tu aurais pu réagir. Non pas que tu ramènes tout à toi, vraiment pas ! Mais tu f ais ça pour essayer de bien comprendre les sensations éprouvées. Et puis ensuite, tu vois ce que tu peux dire. C’est comme ça que tu fonctionnes.

Tu aimes bien être seul, lorsque quelque chose ne va pas. Tu aimes bien pouvoir réfléchir au calme, sans personne autour. Lorsque tu es comme cela, tu as les yeux dans le vague. Tu es aspiré dans ta bulle, et quand bien même on aurait beau t’appeler autant que l’on voudrait, tu ne répondras pas, à part si l’on te touche. Il n’y a que le contact physique qui arrive à te réveiller, lorsque tu es dans ton monde. Très peu de gens le savent, et pensent que tu les ignores, mais tu le sais, tu n’y peux rien. Certes, c’est ta faute si tu n’arrives pas à sortir toi-même de cette bulle que tu te crées, mais malgré tout, tu n’arrives pas à te résigner de la quitter, une fois que tu es dedans. Tu es vraiment du genre rêveur, et à te bourrer la tête de questions étranges. Tu le sais, mais tu aimes ça. C’est ta curiosité. Une curiosité bizarre, mais ta curiosité. A toi. A toi seul.



Histoire
Tu regardes la neige tomber. Tu es dehors. Tu as froid. Tes yeux sont fatigués. Tu veux dormir, pas vrai ? Tu regardes la neige. Tu fermes les yeux, te souvenant de ces jours-là. Un sourire se dessine sur tes lèvres. Tu veux te souvenir, de ces joies passées, avec eux.

Ils sont tous là. Tous autour de toi. Ils te font un geste de la main. Des larmes coulent de leurs yeux. Certains ont des sourires accrochés sur le visage, pendant que l’eau coule de leurs yeux. Ah oui, c’est vrai. C’était à l’aéroport. Mais tu ne veux pas te souvenir de ça ! Pas tout de suite. D’abord le début. Le tout début…

Un petit train roule sur les rails. Tu es là, debout, regardant la scène. Un tout petit garçon s’amuse avec. Il a de grands yeux verts, un grand sourire aux lèvres. Ce visage rond te dit quelque chose… L’aurais-tu déjà vu quelque part ? Une jeune femme entre dans la chambre. Elle appelle Valerio… Le petit garçon ? Mais oui, c’est toi. C’est toi qui te lèves, pour aller dans les bras de ta mère, et te réfugier dans sa chaleur maternelle. Tu l’aimes, pas vrai ? Oui, bien sûr … Tu sors de ta chambre, dans les bras de ta mère. Vous riez aux éclats. Vous êtes heureux, n’est-ce pas ? Ton père arrive. Il est à la cuisine. Il te fait un grand sourire. Tu sors des bras de ta mère, pour te jeter à son cou. Il te papouille sur le ventre. Tu ris. Il te dit des bêtises à l’oreille. Tu ris encore plus. Toi, tu es là, derrière, tu regardes cette scène, qui s’est passée il y a très longtemps. Tu l’avais oublié, cette chaleur familiale qui régnait, avant … Tu souris. Des larmes coulent sur tes joues, alors que dans la réalité, tes yeux sont fermés. Tu souris, heureux, et triste à la fois. N’es-ce pas ce que l’on appelle la mélancolie ?

Tu rouvres les yeux. Le décor a changé. Où es-tu maintenant ? Il y a une cour d’école. Ah, mais oui … Tu vois un enfant. Plus vieux que le premier. Il doit avoir vers les neuf ans. Il court après un ballon. Tu ne le vois que de dos. Mais, même ce petit dos, tout frêle, ne te rappelle t-il pas quelqu’un ? Mais si, aller, essaye de te souvenir … Souviens-toi … Il ramène la balle vers les garçons qui l’avait envoyé loin. Avec un sourire, des yeux qui pétillent, il vient gentiment leur rendre. Les autres garçons le regardent méchamment. Ils se retournent et s’en vont. Ils le laissent seul. Son sourire se fane. Sa lumière dans ses yeux s’obscurcit. Tu ouvres de grands yeux. Bien sûr que tu sais. Bien sûr que tu t’en souviens. C’est toi. Encore. Et oui. Ce sont tes souvenirs après tout. Alors tu seras forcément présent. Tu viens de te rendre compte de ça. Oui, c’est ta vie à toi que tu épluches en ce moment. Tu baisses les yeux. Ça, tu ne voulais pas forcément le revoir, pas vrai ? Mais tu n’y peux rien, ça fait partie de toi.

Le vent tourne, et à nouveau, on change de décor, et de scène. Un jeune homme d’environ treize ans se trouve devant toi. Tu le regardes dans les yeux. Tu n’es pas surpris. C’est lui. C’est toi. Il a un regard déterminé. Aujourd’hui, tout va se jouer. Tu le sais, tu l’as déjà vécu. Il entre dans la classe, te passant à coté. Tu ne le suis pas des yeux. Au contraire, tu les fermes, te concentrant sur la voix. Un grand « Pasta est enfin là ! » retentit. Tu fronces les sourcils. Non, ne te retiens pas. Vas-y, libère-toi. Ça fait trop longtemps que tu le gardes au fond de toi, tu sais. La voix de toi, quand tu avais treize ans, se fait entendre. Elle est douce, petite, de là où tu es, tu ne distingues pas grand-chose. Mais tu sais ce qu’il dit. Tes lèvres bougent, et en même temps qu’il parle, tu prononces les mêmes mots que lui. Tu les connais par cœur. Ces quatre petits mots. « Je m’en vais. » Oui, tu pars. Et où ? Les murs bougent, pendant que tu regardes à travers la vitre de la porte. Il est debout, devant tout le monde. Se tenant droit. Alors qu’à l’intérieur, tu sais qu’il vacille.

Et te revoilà, à la première scène que tu as vue. Il est là. Debout. Il attend. Mais qu’attend-il, au juste ? Il se retourne. Une dernière fois. Il sait qu’il risque de ne pas revenir. Il a 15 ans. Tu sais ce qu’il a fait pendant les deux ans où il n’est plus allé à l’école. Tu le sais. Il n’a fait qu’apprendre le japonais, autant qu’il le pouvait. Certes, il a encore des lacunes, mais une fois qu’il sera là-bas, il sera mieux. Il voit ses parents. Sa famille. Ses amis. Trois filles et deux garçons. Les filles lui sautent au cou, se mettant à pleurer. L’émotion est trop forte pour elles. Elles lui disent qu’elles l’aiment, qu’elles ne l’oublieront pas. Elles lui écriront quand elles sauront où il habite. Elles lui téléphoneront. Elles ne veulent pas le perdre. Elles se détachent de lui. C’est au tour des garçons. Ils se mettent devant lui. L’un lui présente la main. Ce dernier est au bord des larmes. Il prend sa main, puis son ami le tire vers lui, le prenant dans ses bras. Ils disent qu’ils feront comme elles. Qu’ils sont comme elles. Ils ne veulent pas le perdre, eux non plus. Ses parents sont là, en pleurs. Et sa sœur le regarde, lui faisant comprendre qu’il est temps d’y aller. Tu es là. A coté. Tu revis en même temps que lui la scène, les émotions. Tu es en train de penser que tes amis n’ont jamais faillit à ce qu’ils t’avaient dit. Ils t’ont souvent appelé, une fois que tu as été installé avec ta sœur. Tu fermes les yeux. C’est tout ce dont tu veux te souvenir. Ou plutôt, c’est tout ce dont tu as besoin de te souvenir.

Tu rouvres les yeux. Un flocon de neige se dépose sur ton nez. Tu souris, en voyant cela. Tu essuies tes larmes d’un revers de manche. Tu regardes le ciel de la nuit. Il est beau, pas vrai ? Aussi beau que tes souvenirs, malgré le fait qu’ils n’étaient pas tous joyeux. Ils t’appartiennent, et c’est ce qui les rend si unique, et si beau. Tu tournes les talons, réajustant ton écharpe, les yeux rouges. Tu souris paisiblement. Il te manque quand même, ton pays. Même si tu aimes vivre au Japon, il te manque … Et ce soir, tu vas parler à ta sœur. Elle te dira que les parents ont appelé. Tu souriras, comme un idiot. Tu lui demanderas si eux aussi, ils ont laissé un mot. Elle te fera un grand sourire, et hochera la tête. Et tu riras. Car tu sais déjà ce qu’ils vont te dire …

« Tu nous manques, idiot ! »



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    ♠ Age : 15 et demi m’sieur.
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    ♠ T'as lu le règlement ?: Okey by Shizu' :3
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Kasuka Heiwajima

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MessageSujet: Re: Parce qu'il n'est pas qu'un simple "Pasta" | Valerio.   Parce qu'il n'est pas qu'un simple "Pasta" | Valerio. EmptyVen 11 Mai - 22:19

;_; Mon Spaghetti... magnifique fiche... ton perso est touchant !
Bienvenueee parmi nous, hâte de rp avec toi ! ^o^
On a plusieurs fan de petits poney sur le fow! 8'D
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Valerio Panzani

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MessageSujet: Re: Parce qu'il n'est pas qu'un simple "Pasta" | Valerio.   Parce qu'il n'est pas qu'un simple "Pasta" | Valerio. EmptySam 12 Mai - 9:56

Oh, Kasu-chou, merchiiii, t'es trop meugnon '3'

Je pensais pas que Pasta serait aussi ... touchant xD

Et dire qu'à l'origine je voulais en faire un taré, mais que finalement c'est devenu quelqu'un d'à peu près normal, mais surtout mélancolique.

Bref, je compte sur toi pour le réconforter à ce petit bout :3
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Kasuka Heiwajima

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MessageSujet: Re: Parce qu'il n'est pas qu'un simple "Pasta" | Valerio.   Parce qu'il n'est pas qu'un simple "Pasta" | Valerio. EmptySam 12 Mai - 10:36

♥ Meuh ouiii compte sur moi xwx Kasu le réconfortera...à sa façon!
C'est l'influence de la musique ça joue pas mal la musique... `^`

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Valerio Panzani

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MessageSujet: Re: Parce qu'il n'est pas qu'un simple "Pasta" | Valerio.   Parce qu'il n'est pas qu'un simple "Pasta" | Valerio. EmptySam 12 Mai - 11:09

Je m'imagine bien comment il va le réconforter ... xD

Ouais, bien sûr que c'est ça. Cette magnifique musique qui a influencé Pasta. Et pas que son caractère d'ailleurs, surtout l'avatar ! xDD

Je suis trop influençable. Mais je l'aime beaucoup comme ça, mon Pasta.
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Shizuo Heiwajima

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MessageSujet: Re: Parce qu'il n'est pas qu'un simple "Pasta" | Valerio.   Parce qu'il n'est pas qu'un simple "Pasta" | Valerio. EmptySam 12 Mai - 18:55

Spoiler:

*part se perdre dans une forêt >3>*
Herm, bienvenue mon cher o/

Ton perso est vraiment attachant ♥. J'avoue avoir été troublé au départ, c'était la première fois que je lisais une fiche à la deuxième personne ... Mais finalement, on se prend au jeu, et c'est super original comme façon d'écrire. Bon, y'a quelques fautes, comme tout le monde x3
Bref, je valide o/
Amuse-toi bien parmi nous ~
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MessageSujet: Re: Parce qu'il n'est pas qu'un simple "Pasta" | Valerio.   Parce qu'il n'est pas qu'un simple "Pasta" | Valerio. EmptySam 12 Mai - 19:00

..... SHIZUO J'AIME TON LIEN C'EST TOUT A FAIT VALERIO. /MUR/

Bref. Merciiii o/ J'avoue qu'avant j'avais du mal à écrire aussi à la deuxième personne, mais une fois qu'on y a touché, impossible de s'arrêter ...

Et zut, j'ai pourtant relu. Mais bon, c'était le soir, genre 1h du matin, donc forcément, j'ai effectivement dû en oublier, désolé x)
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Aloïse M. Kampard S.

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MessageSujet: Re: Parce qu'il n'est pas qu'un simple "Pasta" | Valerio.   Parce qu'il n'est pas qu'un simple "Pasta" | Valerio. EmptyDim 13 Mai - 18:04

ROH, chuis déçue, moi qui m'attendais à un Italia sur le forum ! D: /PAON/
Non, je blague, bienvenue parmi nous o/
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MessageSujet: Re: Parce qu'il n'est pas qu'un simple "Pasta" | Valerio.   Parce qu'il n'est pas qu'un simple "Pasta" | Valerio. Empty

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Parce qu'il n'est pas qu'un simple "Pasta" | Valerio.

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