Hazama Miya

Petite Citation :3

♠ Nom : Hazama ♠ Prénom : Miya ♠ Sexe : ♀ ♠ Age : 21 ans ♠ Nationalité : Japonaise ♠ Orientation Sexuelle : Hétéro ♠ Profession : Maid dans un Café. ♠ Groupe : Civils - Saika ♠ Rang : ♠ Personnage sur l'avatar : Izayoi Sakuya - Touhou

Description

Miya s’était levée en retard, comme chaque matin. S’étirant lentement, elle s’était finalement hiss ée hors de son lit pour pouvoir en vitesse se changée et partir au boulot. Comme à son habitude elle avait laissée ses habit simple de maid pendre dans son armoire. Elle posa sa main sur la poignée de l'armoire et tout en forcant dessus elle tira vers elle la porte qui renfermait ses précieux vêtemenst. Sans attendre un instant elle les enfila. Quand elle eu finit elle se dirigea jusqu’au grand miroir cloué au mur près de son lit . Elle y croisa son regard. Des yeux encore endormis, rouge comme le sang. À cette heure là, on n’y voyait pas grand-chose, mais ces magnifiques yeux étaient à chaque jours témoins d’une multitude d’émotions. Parfois une joie puérile et enfantine qui la faisait passer pour une tête en l’air se fichant de tout. À d’autres moments un regard lunatique, ou alors exprimant le sarcasme encore mieux que les paroles ne pouvaient le faire. Mais ce qui était le plus important dans son regard, c’était l’effet qu’il savait produire. Certaines personnes croient qu’en ayant l’air agressifs ou encore dérangés ils pouvaient inspirer la peur, mais ils étaient loin du compte. Les yeux d’un assassin, les véritables yeux d’un tueur, sans regret et sans pitié. Laissant transparaitre l’envie d’en finir rapidement dans une marre de sang, sans la moindre humanité. Et ce regard là, Miya le possédait. Pourtant elle ne le montrait que très rarement. Le regard qu'elle laissait paraître le plus souvent au travail était celui d'une jeune fille calme et souriante, chaleureuse et acceuillante, posée et dinamique. Ce qu'il faut savoir sur ses yeux c'est qu'ils expriment ses sentiments. Parfois rouge sang, parfois bleu azur ...

Puis, la protagoniste élargissait son champ de vision. De longs cils noirs, des sourcils finement dessinés, un visage lisse, un petit nez, de jolies lèvres rosées. D’une main lasse, la demoiselle replaça sa longue coiffure de neige. Car oui, comme les yeux le laissent comprendre, Miya est en fait une albinos. Ainsi, sa longue chevelure était d’un blanc translucide, reflétant le gris, lui tombant sur les épaules. Ses cheveux cachaient aussi son front part une fine frange qui lui arrivait juste au dessus de ses yeux. il n’était pas rare qu’elle les retiennent à l’aide de deux tresses qui longeaient son visage. Maintes fois on s’était moqué de sa chevelure, et à chaque fois elle y était demeurée sourde. En réalité, elle se moquait bien des moquerie que produisaient ses cheveux blanc.

Quoi qu'il en soit, elle n'avait plus de temps à perdre pourtant Miya aimait admirer sa silhouette qui la satisfaisait pleinement. Plutôt mince, elle n'était pas maigre pour autant et était donc dotée de quelques formes non-exagérées. Ce qu'elle aimait le plus dans son physique mis à part sa taille fine était bien évidemment ses jambes. Non seulement étaient-elles bien entraînées et lui permettaient de gagner une vitesse élevée, mais en plus elles lui permettaient de faire tourner les têtes lorsqu'elle portait un habit plus court. Et cela pour son travail lui était bien utile. Finalement elle sortis de chez elle en claquant la porte et en important un croissant chaud pour filer au maid où on allait de nouveau la disputer pour son retard.

Mental

Miya était là, juste devant la porte de chez elle, elle l'a claqua et la ferma avec une délicatesse digne d'un éléphant. Puis elle s'avança dans la rue emmitouflé dans son manteau en fourrure. Les mains dans les poches elle regarda la neige tombait. La tête en l'aire elle ne fit pas attention où elle mettait les pieds et trébucha sur le rebord du trottoir pour se retrouver les fesses par terre. Un peu sonné elle posa sa main sur sa tête qui lui faisait horriblement mal. Elle regarda sa main et des tâches rouges venaient à l'encontre des gants noirs qui recouvraient ses petites mains. Soudain elle releva la tête ignorant le sang qui coulait de sa plaie. Quelqu'un arrivait il lui tendit la main en prononçant ces paroles : « Vous avez besoin d'aide »Miya regarda le jeune homme en fronçant les sourcilles. Elle le foudroya du regard et en donnant un grand coup à la main qui lui proposait de l'aide elle se leva et répondit à l'homme sur un ton qui était froid : « Pas de la tienne ... »
Sans se retournait, Miya continua son chemin. Ses pas dans la neige laissaient des traces qui semblaient etre plus sombre que les autres. Des petites tâches de sang tombaient sur la neige d'un blanc immaculé. Une autre personne s'approcha et lui demanda poliment « avez-vous l'heure, s'il vous plait ? » Miya se retourna et d'un grand coup elle empoigna le pauvre type et le plaqua contre le mur tellement brutalement qu'il se cogna la tête et se l'ouvra. Miya folle de rage lui hurla sans gêne « vous avez décidé de me faire chier ou quoi !!!!?? Nan j'ai pas l'heure pauvre type ! » Et puis comme pour la prémière fois elle se retourna laissant l'homme, a moitié dans les pommes, lui hurlait des injures à sa guises. Comme vous avez dû le remarquer, le matin Miya est de mauvaise humeur, je dis le matin mais la jeune fille est toujours de mauvaise humeur. Cette mauvaise humeur et parfois touché par des coups de folies ou le sadisme, l'hypocrisie et la cruauté se mélange dans son coeur et ressort dans son regard. Cette haine s'évapore pourtant quand elle passe le seuil de ce fameux café de Maid. Miya ouvrit la porte et avec le sourire elle dit, d'une voix mélodieuse, un jolie « Bonjour la compagnie ! ». Ici elle sourit, elle rit, elle est polie, douce généreuse, chaleureuse, accueillante et j'en passe ! La Miya haineuse devient la douce Miya. La jeune fille a en fait une double personnalité qu'elle utilise à sa guise. Miya est surement folle.

Histoire

« Regardez là-bas. Si ! La jeune fille sombre assise toute seule près du petit muret avec un chat noir qui fuit en courant. Vous ne la voyez toujours pas ? Allons bon ... Regardez bien cette petite fille avec son drôle d'accoutrement. Elle a l'air d'être une vraie serveuse avec ses petits froufrou et son tablier blanc, si ce n'est cette petite lueur sombre émanant du reste de ses vêtements qui semblent littéralement absorbés les autres couleurs autour d'elle. Ohh ! Regardez ! Elle est en train de nous observer de ses yeux rougeoyants. Quoique, j'ai plutôt l'impression qu'ils sont d'une belle couleur bleutée, voire même d'un beau Magenta un peu clair. Ils ont pourtant l'air si sombres... »

Quand je marche dans la rue c'est tous les jours que j'entends ce genre de propos à mon égard et comme de nombreuses choses je les ignore simplement. Pourtant, quand j'y fais attention, il m'arrive de me sentir mal, très mal sans pour autant me sentir blessée ou triste. Simplement mal. Peut être est-ce dû à mon passé qui finalement ne s'est pas complètement effacé de ma mémoir? Car oui j'ai oublié mon passé, enfin seulement des détails sans importance. Je ne me rappelle plus de la douceur de mon père ou du sourire de ma mère je sais seulement que je l'ai aimé plus que tout. De ce passé oublié je me rappelle simplement que j'ai été malheureuse et pourtant je sais que parfois un sourire venait éclairer ce visage maintenant si sombre qui attire tous les regards. Mais de ce passé oublié j'ai réussi à rassembler quelques fragments égarés pour en faire une petite histoire que je me remémore à chaque fois que je regarde le ciel qui est toujours d'un bleu si pur ...

J'avais six ans quand c'est arrivé. Je n'avais passé que six malheureuses années à leurs côtés. J'étais heureuse. Oui, je me rappelle d'avoir étais heureuses. Peut être que si ce jour n'était pas arrivé j'aurais été complètement différentes de ce que je suis maintenant ? Qu'importe ! Puisque ce jour est vraiment arrivé alors faisons avec et ne soyons pas nostalgique de quelque chose dont je ne me souviens plus. Puisqu'ils sont morts, puisqu'ils sont partis pour toujours n'essayons pas de revenir en arrière pour, peut être, être encore plus malheureuse. Mais, malheureuse je ne le suis pas, puisque je ne me rappelle de rien les concernant, eux, mes parents. Un jour des hommes sont venus. « Bonjour » ils mon disent. « Tes parents sont morts » Ont-ils continuaient. Un accident du travail paraît-il. Car oui mes parents étaient pauvres et oui ils travaillaient dans les rares usines qui avaient continué de travailler à l'ancienne. Je me rappelle d'avoir pleurer, beaucoup pleurer, puis emmener là-bas. Dans l'orphelinat.

J'ai passé la moitié, voir même, toute ma jeunesse dans cet orphelinat. Très vite je me suis écarté des autres, fuyant leur regard, évitant toutes discutions pour pouvoir rester dans l'obscurité là où personne ne viendra me gêner. Pourtant, très vite, je fus la cible de tous les voyous, si on peut appeler ça comme ça, de l'orphelinat et je devins le bouc-émissaire de tout le collège. On se moquait particulièrement de mon physique. Mes cheveux blancs, mes yeux teintés d'une lueur rougeâtre, ma peau un peu trop blanche et mon aire lunatique. Je me rappelle d'un jour ou j'ai commencé à devenir plus brutale. C'était après les cours, des garçons de ma classe m'avaient retenu dans les couloirs et commençaient leur cérémonie habituelle. « Ta vu ses cheveux ! Punaise j'aimerais pas lui ressembler ! Et ses yeux ! On dirait ceux d'un démon ! » Et puis il y en a un qui a dit : « Elle n'est pas si moche au final ! Ca vous dit qu'on joue un peu avec elle ? ». UN des trois garçons sortis une lame pendant que les autres me tenaient les bras. Je pense bien que j'ai pris peur et puis tout s'est passé si vite. J'ai craché dans l'oeil d'un des garçons qui me retenait immobile et j'en ai profité pour lui envoyait un grand coup de pied dans le ventre. Le garçon qui tenait le couteau s'avança vers moi et au moment où il allait enfoncer la pointe métallique dans ma chaire je tirai l'autre gamin en face de moi et ce fut lui qui se pris la lame dans le bras. J'en profitai pour filer et je courus aussi vite et aussi loin que j'ai pus. Malheureusement l'orphelinat à des murs et malgré mon envie de passer à travers je ne pouvais aller nulle part. La suite je m'en rappelle que très vaguement mais, je sais que les nuits qui suivirent cet accident furent très pénible et c'est pendant l'une d'elle que ma vie allait encore prendre un grand tournant. Pendant chaque nuits des sentiments néfastes me chamboulaient l'esprit. Haine, nostalgie, mélancolie, peine, tristesse et parfois même cruauté étaient devenus mes seuls amis. Pendant toute la nuit jusqu'au petit matin je pleurais toutes les larmes de mon corps tapant les murs qui entouraient ma chambre comme une furie. Parfois même je me mordais jusqu'au sang ou éventrais de pauvre peluche qui me passaient sous la main. Et un soir, vers dix heures environ, j'entendis un bruit, un drôle de bruit, je sortis donc de ma chambre et posai un pied sur la pierre glaçait qui servait de sol. Je m'avançai vers le bruit qui ressemblait de plus en plus à un tintement. Je me rappelle ensuite d'avoir vu une main qui tenait une fine dagues dont la lames scintillé, la main sortait de l'obscurité et je ne pus voir le corps de la personne qui tenait l'épée. Et puis je me suis évanouis.

Je ne garde aujourd'hui que de sombres souvenirs de cet orphelinat. Je ne souhaite à personne de rentrer dans un de ces endroits. Il nous rend fou, il nous rend triste, il nous rend parfois même méchant, égoïste et sans perspective d'avenir. J'ai quitté cet endroit très vite pour ne jamais y revenir. Et je me suis me suis très vite mis à travailler pour gagner mon propre argent et pendant l'été qui suivit ma fuite, j'avais alors 19 ans, je m'installai dans un petit appartement qui me convenait parfaitement et je commençai une vie simple qui m'allait à merveille. Je suis une jeune femme qui ne cherche rien à par le calme. Ne me mêlé pas à vos histoires, j'ai la mienne et celle-ci me suffit pleinement..

Behind

♠ Age : 15 ans
♠ T'as connu où le fow' ? : par partenariat
♠ Et t'en penses quoi ? : Il a l'air GENAIL !!!
♠ T'as lu le règlement ?: OUé !! Okey by Shizzy
♠ Autre Remarque ? : Rien à signaler

Spoiler:

Bonjour et bienvenue nous Miya ♥

Pour ma part, tout comme les autres d'après ce que j'ai crus comprendre, j'ai adoré ta façon d'écrire cette fiche car on n'y voit pas que ce qui y est demandé : je veux dire par là que dans le physique, on voit aussi un peu de la "banalité quotidienne" du personnage ce qui donne un petit plus à ta fiche que j'ai beaucoup apprécié. ♥
Il me semble que tu as bien cerné le prédéfini, mais ça, c'est à Shizuo de le décider vu qu'il est à lui, alors je dirais juste que j’apprécie beaucoup ta manière de l'avoir transcrit ici.
Et enfin, tout comme Kasuka, je pense qu'un petit coup sous open office et/ou Bonpatron t'aiderait à supprimer toutes ces fautes d’inattentions assez rapidement (comme ces "couloires" qui seront soulignés. en rouge).

Donc voilà. ♥ Je suis donc pour ta validation dès que tu auras supprimé quelques unes -voir toutes, sait-on jamais/OPAN/-de ces fautes. :3

Bonne continuation !

Alors, alors, excuse moi du retard, j'allais le faire quand j'ai vu que tu m'avais MP, donc bon, sorry. ♫

Pour moi, tout est bon désormais, à voir avec Kasu' et Shizzy' maintenant.