Elle attend.

Parfois des siècles, des années. Surgissant quelque fois sans crier gare, du moment le plus inattendu et insolite au moment le plus commun. Nous finissons tous par la rejoindre un jour où l'autre, nous sommes destinés à cela, personne n'y réchappera même si l'envie n'y manque pas. Qui sait peut-être qu'un jour il sera vraiment possible de ne pas tomber entre ses griffes mais alors cela chamboulerait de manière irréversible la vie en elle-même et nos modes de pensées. Elle se joue bien de ce que vous pouvez faire de votre vie, qui vous êtes, la somme exorbitante d'argent que vous possédez, la gloire que vous avez accumuler par vos faits et gestes ou l'importance de votre existence en ce monde. Les regrets, les larmes, les supplications ne changeront pas l’inévitable tragédie qui vous attend lorsque le rideau se baissera. Oui elle est patiente et elle sait qu'elle mettra la main sur vous un jour ou l'autre néanmoins n'en soyez pas alarmé, vous ne serez pas seul, tout les individus la rejoindront, oui tous sans exception. Ne considérez pas cela comme une malédiction ou une sorte d'injustice dites-vous simplement que tout à une fin. Livre, épisode télé, film, musique, conversation, joie, tristesse....Que vous soyez attirer par elle ou non, qu'elle vous intrigue ou vous terrifie, pour elle vous êtes tous égaux. Haha ne pensez pas que la rejoindre va arrêter le temps et que votre existence aux yeux d'autrui en sera bouleversée; vous n'êtes rien de plus qu'un brin de poussière sur cette planète et si l'on désire vivre le plus longtemps possible il ne faut pas se reposer sur ses lauriers et avancer.

Il est là.

Toujours présent à vos côtés, constamment, à la même allure qu'importe le moment. Notre perception peut bien le voir rapide ou le voir lent selon la situation il en reste indifférent en lui-même. Il avance. Ne recule jamais, oh combien nombreux le souhaiteraient. Ne s'arrête pas non plus pour marquer une pause, non, il avance aussi bien dans notre esprit que pour le monde, la nature, les êtres vivants. Tous, nous lui sommes tous soumis en quelque sorte. Mais existe-t-il vraiment? Ne lui avons nous pas offert consistance en lui donnant un nom? Il nous accable mais si nous ne nous étions pas borné à vouloir le suivre, peut-être que dans un esprit non conscient du devenir prochain, nous aurions vécu au jour le jour en attendant la fatalité prochaine. Son ascension toujours plus prononcée vers la fin de la partie, notre partie, se fait de plus en plus sentir et un jour cela s'arrête. Votre arrêt, car pour lui, votre arrêt ne sera pas le sien. Oui, au finale vous finirez seul. Lui? Vous n'en aurez plus besoin là où vous irez, d'ailleurs rien ne vous importera plus.

Le doute subsiste.

Enfin ce n'est pas tellement elle que nous craignons mais plutôt ce qu'il y a après son étreinte. Personne n'a réussi à se séparer d'elle une fois le moment venue, personne ne peut rejoindre l'autre face du miroir, son opposé. On ne peut passer le miroir malheureusement qu'une fois et que dans un seul sens. Mais alors que se passe-t-il lorsqu'on est happé par elle? Voilà ce qui effraie et qui terrifiera toujours. Comme on dit c'est quand vous la rejoindrez que vous connaitrez la réponse à cette question. Ne comptez pas donner la réponse à autrui, vous n'en aurez jamais l'occasion. C'est amusant comme on se plaint d'elle lorsqu'elle est proche alors qu'auparavant on ressentait plus d'attirance envers elle, méprisant consciemment ou inconsciemment son inverse. Elle semble attrayante, une sortie de secours ou plutôt l'ultime recours. Maladie, soucis du quotidien, dépression, fatigue. Les individus se remémorent plus aisément les moments néfastes et désagréables que les moments agréables et bénéfiques. Navrant n'est-ce pas? Haha enfin ne nous y attardons pas plus.

La mort, le temps, l'après mort sont des sujets bien trop complexe n'est-ce pas? Alors restons en là si vous le voulez bien. Vous devez vous demander pourquoi ces sujets là sont-ils venus sur le tapis? Très simplement parce qu'en ce moment même nous nous trouvons dans un endroit où toute ces questions se mêlent les unes aux autres prenant le contrôle de nos pensées et les centrant uniquement sur elles.

Le cimetière.

C'était une de ces journées où le ciel gris semblait de mauvaise augure et menaçait les habitants des villes en dessous. Une provocation? Qu'importe le temps, Ikebukuro était une de ces villes actives où la population ne cessait d'aller à droite à gauche que cela soit pour leur travail ou partant en exploration pour diverses raisons. Certains individus se rendaient au parc, d'autres s’intéressaient au magasins, d'autres encore allaient à la bibliothèque ou au cinéma. Ils y en avaient pourtant, de temps à autre, quelques uns qui venaient pleurer ou se remémorer des souvenirs enfouies ou refoulés au fond d'eux dans des tombes. Parents, proches, amis...toutes ces tombes renfermaient des individus ayant fait leur temps sur terre. Temps court ou long, mort naturelle, par accident, meurtre ou suicide. Alignés côte à côte en rangées de trente, elles se démarquaient toutes de par leur forme et présentation. Leur composition florale étaient toutes différentes. Plus il y avait de fleurs, plus la mort de l'individu était récente. Le temps passe est nous oublions peu à peu ceux qui faisaient notre souffrance, nous poursuivons notre vie et, même si ces êtres sont gravés dans notre mémoire et notre coeur, nous avons peur de rester à jamais prisonnier de ces réminiscences. Quelques arbres peuplaient le lieu lugubre comme voulant apporter un semblant de vie pour un monde aussi incolore que celui-ci. Nul bruit ne venait perturber les morts dans leur repos éternel si ce n'est le bruit léger des feuillages à chaque petites brises de vent. L'atmosphère en était presque pesante.

Pourtant, une silhouette inattendue observait les tombes face à lui silencieusement. Ce n'était pas dans ce genre d'endroit qu'on le rencontrait le plus fréquemment ni avec ce genre d'expression. L'homme paraissait dénué d'expression comme vide. Était-ce réellement la tombe en elle-même qu'il regardait ou son regard passait-il à travers tout cela pour ne fixer que l'inexorable mort qui l'attendait, lui aussi, de pied ferme. A quoi pense exactement un individu en cet instant? Devrait-il diriger son esprit vers tout ses humains qui ont péri avant lui ou vers ceux qui périront après lui? Ou vers lui-même? Les mains dans les poches de sa veste, la capuche baissé comme cachant son visage ou s'attendant à ce qu'il pleuve, l'homme n'avait fait aucun signe de croix, il était venu simplement pour on ne sait quel raison, n'avait pas observé une tombe en particulier, son regard ayant furtivement fait le tour approximatif du cimetière. Il lâcha un petit rire mécanique/nerveux revenant comme peu à peu à la réalité et tourna les talons repartant des lieux en murmurant d'une voix à peine audible comme s'adressant à lui-même:

-Il est absolument hors de question que je finisse ainsi...

Lorsque les bruits de ces pas sur le gravier redevinrent ceux du paver il venait de quitter l'endroit. Le brun fit "un état des lieux" pour décider de sa prochaine destination avant d’apercevoir le blond planté là, à quelques mètres de lui. Il haussa un sourcil surpris de voir la terreur, le monstre, le barman, appeler le comme vous voulez mais il semblait que lui aussi venait de le remarquer. Qu'allait-il faire? Sans nul doute crier son nom férocement comme un prédateur ayant repérer sa proie, prêt à se jeter toute griffes dehors sur elle, tout en sortant son discours très varié du "Je t'avais dis de partir d'Ikebukuro" etc... et prendre la première chose (lourde de préférence) se trouvant à sa portée. Évidemment dans l'ordre que l'on veut haha~ Alalala décidément sortir de chez lui signifiait "rencontrer" le protozoaire.

Décidément, il faut croire que cette journée allait être plus mouvementée que prévue.

Lassant. Oui ça en devenait presque lassant, agaçant même d'entendre toujours ce refrain. On aurait presque l'impression de revivre sans arrêt le même jour avec ce blond. C'est d'une monotonie....Il fallait l'avouer l'informateur n'avait vraiment pas envie de jouer avec celui-ci pour le moment. Autant la décomposition de son visage était particulièrement jouissive mais ses réactions étaient d'une prévisibilité inouïe face à lui. Il avait reproduis à l'identique ce que s'était imaginé le brun ce qui d'ailleurs ne l'amusait pas cette fois mais l'irritait d'ennuie profond bien qu'il n'en demeurait rien sur son visage qui restait fixer sur l'animal. S'il était toujours en vie c'était à son bon vouloir, parce qu'il apportait un semblant de distraction, mais plus cela allait, plus il l'ennuyait...surement parce qu'il le connaissait à présent par coeur? Mmm plutôt parce que c'est un protozoaire complétement dominé par sa colère, haha oui ça c'est une meilleure raison. Enfin il valait mieux qu'il reste un abruti fini, il n'aurait pas voulu répondre à une question tel que "qu'est-ce que tu fichais dans un cimetière?" ou "bah alors où est passer ton fameux sourire, t'es déprimé?" Assurément non, juste pensif. Il aurait très bien pu répondre à ces questions sans aucun problème mais provenant de Shizu-chan ce genre de question l'aurait fait perdre un peu de son légendaire sang froid. La seule vue du barman par l'informateur et vice-versa provoquait une sorte de dégoût mélangé à de la colère et une certaine appréhension mijoter le tout est vous obtenez de la haine. Pourquoi? Pas de raisons particulière vous répondrait le blond à une époque mais à présent il était clair qu'il en avait....quant au brun? Le mystère reste entier et personne ne pourrait répondre à cette question mis à part lui-même.
Il est amusant de constater que les deux soient pris dans ce qu'on appelle le "cercle vicieux" projetant la faute sur l'autre pour ne pas avoir à assumer sa responsabilité et éviter ainsi la souffrance. "Si je suis ce que je suis c'est entièrement ta faute, j'ai tout perdu par TA FAUTE!" Oh? Vraiment? Haha il ne faut pas non plus tout remettre sur son dos, nee~? Est-ce la faute d'Orihara Izaya si le blond a cette force surhumaine? Est-ce sa faute si le blond n'arrive pas à se contrôler? Oui et non en effet mais n'a-t-il pas abandonner tout espoir de la contrôler bien avant de le rencontrer? Quelqu'un qui a peur de lui-même et ne crois pas pouvoir se contrôler ne peut donc espérer du jour au lendemain avoir un contrôle total sur sa force. Et devenir plus fort ne changera rien tant que la peur de soi restera dans son coeur. Il est bien connu que les personnes qui ne s'aiment pas ne s'aimeront pas comme ça, soudainement sans effort. Il souhaitait devenir plus fort non? Et il dit détester la violence? C'est pourtant en se battant que l'on deviens plus fort, simple logique. Ce n'est pas en restant bien tranquille qu'il progressera quoiqu'on ne peut pas dire comme il l'a été dis que "devenir plus fort" et la solution parce que plus il deviendra fort...plus il aura peur de lui-même et faire du mal à autrui et particulièrement ses proches. Haha quel paradoxe. Les deux? Ah oui quelle faute a donc commis Shizuo Heiwajima qu'il ne sait pas lui-même? Encore une fois ne comptez pas sur l'informateur pour vous le révélez, ne pensez pas non plus qu'il ne soit que dans le domaine de la raison, il arrive parfois qu'il soit humain lui aussi et qu'il soit pris dans les tourments de ses émotions pour le meilleur et pour le pire.
Pourquoi Shizu-chan est-il le souffre douleur de "la fouine"? Ne l'a-t-il pas voulu? Après tout il n'a fait que s'adapter à son jugement, rien de plus. Il a senti son regard sur lui derrière la baie vitrée du lycée qui sous entendais "je n'te sens pas, je suis sûr que tu n'est qu'un sale type", il n'avait fait que répondre à l'affirmative qu'il était d'accord pour devenir "le sale type". En partant d'une conclusion, il est facile de trouver des arguments pour l'appuyer. "Cet homme est mauvais" ne vous étonnez pas de trouver des faits ou propos qui appuient votre soit disant hypothèse car l'être humain est imparfait souvenez vous en. Si vous recherchez réellement la vérité il faudra partir d'un "Qui est cet homme?" et non d'une question qui n'en est pas une puisqu'elle est déjà forger sur votre perception "Cet homme est-il mauvais?" n'est donc qu'une question rhétorique puisque l'individu s'est déjà fait sa propre opinion et ne prendra inconsciemment en compte que ce qui approuve sa théorie. L'être humain sent certaines choses comme l'antipathie que dégage à leur égard autrui, ce jour-là c'est ce qui se passa pour eux deux, Izaya a par la suite donner de véritable raison pour le barman de le haïr. Bien des mystères se cachent là où on ne soupçonnent pas leurs existences.

-Je n'ai pas envie de "jouer" avec toi aujourd'hui, désolé Shizu-chan, alors laisse moi partir bien gentiment~

L'homme avait réafficher ce fameux sourire méprisant-sarcastique-hypocrite qu'il savait si bien adopter sur ses lèvres quant il est face à lui. Il le fixa donc tout en sortant son canif qu'il pointa vers l'animal tout en surveillant le moindre de ses mouvements car oui ne penser pas vous en sortir si vous prenez la bête à la légère il faut être d'une extrême vigilance. Mais dans son cas il n'attendais pas de réponse du blond ou du moins il la connaissait déjà et cherchait plutôt un moyen de s'enfuir ce qu'il eu tôt fait de faire étant donner qu'un camion passait à cet instant sur la route à côté d'eux. Il sauta ainsi agilement sur le toit du véhicule en ricanant à l'adresse du colosse en lui faisant un petit signe aurevoir lorsqu'il sentit une secousse qui le fit reculer vers l'arrière. Il se retourna donc vivement pour constater qu'il y avait un bouchon vers le centre-ville qui clôturait sa petite balade...mais aussi son moyen de locomotion pour échapper au barman. Il sauta à nouveau sur le pavé avant de se remettre à courir comme il le faisait à l'ordinaire face au blond.

Beaucoup d'êtres humains cherchent une "utilité", un sens à leur vie, cherche à appartenir à un groupes d'individus, à faire partie de la société. L'exclusion est l'une des pires choses qu'ils pourraient leur arriver et malheureusement presque tout le monde doit endurer cela un jour et il en sera toujours ainsi. Nous sommes tous la victime et le bourreau de quelqu'un, parfois même sans s'en rendre compte. Nous croyons tous faire le bien ou notre bien en agissant de tel manière, en pensant de tel façon et pensant toujours que l'erreur vient des autres; parfois on vient à penser à l'utilité du mot vérité si chacun à sa propre vérité car il ne peut y avoir plusieurs vérités selon la signification de ce mot. De même que les jugements ne sont pas toujours significatif de réalité et sont souvent source d'une analyse trop subjective voir entraine des stéréotypes. Connaissant la complexité des êtres humains, l'informateur pourra vous le confirmez même s'il s'en sort particulièrement bien dans ce domaine il n'empêche qu'il lui arrive néanmoins de se tromper comme n'importe quel humain et c'est une chose qui l’énerve et l'amuse au plus au point; après tout, si la vie était aussi prévisible elle n'aurait aucun intérêt.
Il est amuser d'écouter les humains, ont en croiraient beaucoup d'un enfantillage déconcertant avec leurs discours sur leur prétendue haine ou dégout sans raison apparente. Dire que "la tronche de machin ne nous reviens pas" et qu'il n'y a pas de raison à cela est assez paradoxale; puisque bien que cela ne soit pas raisonnable, ni très réfléchi, cela reste cependant une raison, un motif. On croit tout savoir sur ce qui nous pousse à agir, à détester ou aimer quelqu'un mais il n'en est rien. Est-ce vraiment l'être, la personne que nous haïssons ou une/plusieurs de ces caractéristiques? Est-ce vraiment pour elle entièrement que nous l'aimons ou son physique/mentale? Si Shinra aime la coursière est-ce pour tout son être ou simplement parce qu'elle n'est pas comme les autres, simplement parce qu'elle n'est pas humaine? Si Seiji Yagiri reste avec Mika n'est-ce pas parce qu'il peut admirer chaque jour son visage ressemblant à cette tête qu'il chérissait tant? Il n'a que faire du reste. Hahaha des amours si pathétiques, si banals, si faux...oui LUI uniquement LUI les aime tous, tout leurs êtres, peut importe leurs physiques et leurs mentaux, peut importe leurs passés, leurs présents, leurs futurs, peut importe leurs actions, leurs paroles, il les aime sans distinction. Mais il est possible pour un monstre de n'avoir aucune raison de le haïr, quant à l'amour de l'informateur qu'il soit rationnel ou irrationnel il y a pourtant un motif à cela: les humains sont intéressant, tout simplement et c'est en les observant, en récoltant des informations, en les analysant qu'on peut dire qu'il est bien l'un des êtres qui en sait le plus sur eux.

Comment serait la vie d'Heiwajima Shizuo sans Orihara Izaya?

En voilà une bonne question. Et pourtant les avis ne divergent pas tellement puisque beaucoup voir la quasi-totalité des gens penseraient sans hésiter qu'elle serait meilleure. Peut-être, c'est fort probable mais n'y a-t-il que du bon? Ça c'est une autre histoire...en tout cas c'est une expérience pour le moins intéressante. Un monde sans lui....Izaya ne peut le concevoir, se l'imaginer...il le refuse même, ses humains ont besoin de lui, oui il n'est pas aveugle, il sait que chaque humain meurt un jour ou l'autre mais il ferait tout ce qu'il peut pour que cela ne lui arrive pas à lui....il mourrait bien avant le barman, il le sait....et ce n'est pas juste, les monstres n'ont pas le droit de vivre plus, ils ne le méritent pas! Ils ne méritent pas d'avoir des amis, d'être entourés, d'avoir droit à la gentillesse ou la tendresse, n'ont pas le droit de sourire, n'ont pas le droit d'être plus heureux que lui!! Ce n'est pas juste c'est comme ça! C'est vrai il voudrait expérimenter sa mort sur le barman....oui un plan...un moyen de le rendre encore plus fou à sa manière...seulement le problème c'est qu'il faudrait que tout le monde le pense mort eh bien que cela lui permettrait de magouiller et observer tranquillement...ça lui déplairait. Car oui le brun avait peur même s'il refusait cette évidence....peur de la joie de ces humains à cette nouvelle...peur de voir ces personnes qu'il connait bien dans l’indifférence la plus totale....peur de se rendre compte jusque dans ces entrailles que Namie avait raison, peur d'être seul à la vie à la mort, peur de perdre face à Heiwajima, le monstre, celui qui n'est pas digne de tout cet attachement...peur de voir à nouveau ce cher Shinra faisant mine d'être triste pour simplement paraitre plus sensible aux yeux de sa dulcinée....non il ne veut pas voir se qui se passera quand ce jour arrivera.....et il n'arrivera pas, jamais.

Cette fois-ci, c'était juste. Il arrive parfois ou plutôt...on pourrait croire que le colosse calcul le bon moment pour frapper mais quand on le connait on sais que c'est soit un coup de chance, soit simplement l'instinct de la bête. Il l'avait raté avec sa poubelle, ce qui ne manqua pas de faire sourire la fouine qui ne pouvait qu'admirer les dégâts qu'il causait faisant se rependre quelques détritus lors de la collision avec le sol. Ah et voilà le fameux réverbère...comme il le pensait il ne retenait aucune leçon....le brun sauta alors de stores en stores pour se retrouver sur le toit d'un bâtiment et en profita pour donner quelques coups de couteaux sur les deux stores alors que le blond passait en dessous pour qu'il ait un instant d'aveuglement et surtout pour qu'il s’énerve encore plus. Bien qu'il aurait voulu assister au "spectacle" il considéra que le moment était venu de s'éclipser à nouveau et il sauta du bâtiment du côté opposé à Shizuo.