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 « Only as I slowly freeze ; I reach for you ; I reach for you ; And now I know where no one’s ever been ; Right next to you ; Right next to you. »

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Alivia Ells

Alivia Ells

I F*ck you, Guetta ♪

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Alivia Ells



→ Nom : Ells, se prononçant "Hell" avec un z en plus à la fin ce qui pourrait peut-être offrir l'enfer de Zorro si une traduction était possible ... Ah, si seulement c'était possible.
→ Prénom : Alivia, une sorte de mélange entre Alicia et Olivia peut-être ? Il faut croire que seul les Canadiens savent faire ce genre de mélange si sublimes aux yeux des autres.
→ Sexe : Une fille, une vraie ! Certes, peut-être pas celle qui parle de mecs et de fringues, mais elle y arrivera sûrement un jour.
→ Age : Elle est née il y a dix-neuf hivers elle ne le cache en aucun cas.
→ Nationalité : Une canadienne ! Non, pas une Américaine voyons : une C.A.N.A.D.I.E.N.N.E. aussi dit Crotte Au Narcissisme A Dingo Il En N'en N'a .. Eeeeeh ?!
→ Orientation Sexuelle : Bisexuelle, elle s'en fiche que son prince charmant soit un homme ou une femme.
→ Profession : Musicienne en conservatoire préparatoire et prévoyant de devenir DJ.
→ Groupe : Civile, elle est tout ce qu'il y a de plus normal.
→ Rang : I f*ck You, Guetta ♪
→ Personnage sur l'avatar : Anarchy Panty de Panty and Stocking With Gartebelt.

« On n'est tous un rien dans ce monde, c'est en étant unis que nous formons le peuple. »

• The deep brain ♫



Enquiquineuse Vous la verrez peut-être un jour dans la rue, entrain de crier son scandale car elle a eut une pomme moins mure que celle d'une autre. Peut-être que vous trouveriez ça ironique, mais il y va sans dire que c'est extrêmement enquiquinant. Le pire dans tout ça, c'est qu'elle le fait exprès. Elle sait parfaitement qu'elle est chiante quand elle est comme ça et c'est justement la raison pour la quelle elle continue.
Énervante Vous la maudirez de mile et une façon à sa façon de faire. Certes, au départ, on croirait qu'elle ne fait strictement rien de mal vous vous rendrez bien vite compte que sa maie de casser les gens, de les rembarrer, de les insulter ou autres fait d'elle une personne très énervante et presque impossible à supporter. Une insupportable peste qui n'hésite pas à le montrer au premier abord.
Narcissique Les vitres, ce sont ses meilleurs amies. Elle se regarde dedans en riant et tournant sur elle même. Enfaîte, elle aime ça. Elle et sa bouille « d'ange ». Elle n'hésite pas à se mettre bien en valeur pour être la plus belle et espère voir un jour son reflet fondre devant sa « futur beauté ». En réalité : elle ne sert pas vraiment à grand chose à part se contenter devant un miroir en se la jouant la Reine dans Blanche-Neige. Ha, si seulement les miroirs magiques pouvaient exister.
LoufoqueElle vous observe fixement derrière un journal trouée aux niveaux de ses yeux. Elle sort une pipe et met la casquette de ce bon vieux Sherlock. Vraiment, elle n'est pas normale. Une pipe qui fait des bulles et un chapeau avec une fleur rose bonbon dessus, ce n'est vraiment pas normal. C'est tellement peu normal que ça lui ressemble. Il n'y a pas vraiment de chose pour décrire son petit côté bizarroïde, à part peut-être sa personnalité bien à elle et sa façon de penser. Mais elle n'est pas vraiment … Il n'est pas vraiment possible de l'écrire.
Super-actif Elle saute partout, bouge et hurle comme une personne n'ayant jamais vue le monde. Elle rit, elle s'amuse et fait les cent coups avec ses amis. Vraiment, on dirait une charmante enfant qui bouge partout et qui pense que le monde est un jeu.
EnfantineUne gamine. Voilà ce qu'elle est mentalement. On lui a retiré son enfance, alors elle se rattrape pendant qu'elle le peut encore. Elle fait des vannes, joues avec les adolescents, se fait passer pour plus jeune. Elle n'hésite pas une seconde quand il s'agit de pouvoir paraître pour ce qu'elle ne fut jamais.
Confiante Toujours aux plus fort de sa mentalité, elle ne perd pas une seconde en doutant d'elle ou des personnes qui l'entourent. Elle sait que tout est possible quand on le veut vraiment et que ce n'est pas quelques obstacles qui empêcheront la chose de se réaliser. Elle encourage sérieusement ce qui doute d'eux même car elle sait très bien qu'il est difficile d'être seul dans des moments de difficultés. En gros, elle ne veut pas que les autres ressente ce qu'elle a ressentis autre fois.
Franche Elle dit ce qu'elle pense. Elle le fanfaronne haut et fort, clamant bien haut le idées qui lui passe par le cerveau. Elle ne va pas se poser de question, elle ne cachera pas grand chose non plus. Elle dit, tout simplement. Que ce soit de bon ou en mal, elle n'hésite pas à mettre les choses aux clairs et peut parfois être brutale avec ses mots.
Enthousiaste Tout le temps partante pour une nouvelle aventure tel Dora l'exploratrice, elle n'hésite pas à sauter directement dans le tas sans se soucier des probables problèmes qu'elle pourrait avoir. Elle met tout son cœur à l'ouvrage et ne baisse pas les bras, toujours heureuse de commencer quelque chose de nouveau ou aller dans un endroit inconnu. C'est donc une personne insouciante qui découvre petit à petit le monde.
Ouverte Elle est ouverte d'esprit, il n'y a pas à dire. Elle sait écoute l'opinion des autres tant qu'on respecte le sien. Si ce n'est pas le cas, elle fera semblant de s'en foutre complètement et ira envoyer balader la personne en face d'elle.
Audacieuse Elle ose sans hésiter la nouveauté. Elle se fiche de ce que les autres pensent et des regards moqueurs. Elle n'hésite pas une seconde, si elle veut : elle fait. Et si ses actions ne plaisent pas aux autres, elle répondra part un magnifique « Allez vous faire foutre, je vais c'que j'veux d'abord. » ou autres phrases toutes aussi sympathiques.
Musicienne La musique, c'est sa passion, son amour. C'est sa vie, son passé et son futur. Elle aime plus que tout ceci et n'a aucune honte à ça. Elle s'en sert pour vivre, et bouge au rythmes de douce symphonie. Le Ludwig Van et le Mozart reste sans aucun ses sons favoris, car il y va sans dire que vu les musiques de notre époque où les gens ne font que d'appuyer sur des boutons ou faire tourner les disques, aucune d'entre elle ne peut dépasser des dieux vivants comme ceux là ; surtout pas David Guetta. Oui, elle maudit ce gars. Elle ne supporte pas sa façon de faire et trouve ses musiques vides et synthétisé. Pour elle, ce n'est pas des vraies sensations qu'il procure, juste des « Boom » et des « Paf » reproduit par une vulgaire machine.
Jimi Hendrix Jimi Hendrix, c'est son Dieu. Son idole. Elle en est fan, de lui et de sa musique. De son style et de sa façon de faire. Du rythme et des sensations qu'il procure. Elle aime toutes ses créations, passants des premières aux dernières. Elle aurait pu tout donner pour le rencontrer. Et rien qu'aujourd'hui, elle possède toutes ses musiques et accroche régulièrement de nouveau poster de ce chanteur dans sa demeure.
Marvel Marvel, ou les seuls DC comics qu'elle lit. Spiderman, Thor, Hulk, œil de faucon, Iron Man, et compagnies. Tout ça, elle les connaît sur le bout des doigts, ne pouvant désirer que de rencontrer un jour l'acteur de Iron Man pour lui parler voir plus si affinités. En faite, c'est un peu les seules autres choses qu'elle lit hormis les partitions. Elle trouve ça reposant et aime se baser sur le style des personnages. Surtout depuis l'arrivée du mariage gay chez Marvel.


• This is not just a piece of land ♫



Et si, et si on s'imaginait les êtres Humains comme on le désirait ? Si on leurs mettait trois nez, un pied et cinq bras, hein ? Et pourquoi pas ? On sait tous que c'est l'AND qui nous fait, et pourtant … Si seulement. On aimerait avoir des ailes, pouvoir voler. Mais non. Jamais.

Alivia, elle est comme vous. Elle n'a pas des dizaines de bouche, ni huit bras. Elle ne possède pas non plus des yeux sur le ventre. Elle est ce qu'on nomme « normale ».

De taille moyenne et assez maigre, cette jeune demoiselle possède une poitrine assez bien proportionnée. Ne possédant aucun problème pédiatrique ou autre, elle est physiquement tout ce qu'il a de plus banale.

Ses cheveux blonds lui arrivent aux niveaux de la taille et sa coiffure et uniquement composé d'épis et de mèches rebelles partants de ci à là. Sa franche part souvent à droite et laisse apparaître ses yeux entre quelques brins de cheveux.

Son visage quand à lui est tout ce qu'il y a de plus normal. Deux yeux bleus, un nez et une bouche. Une fine expression de mélancolie l'habitant parfois quand ce n'est pas sans air hautin qui y est installé. Sur ses oreilles sont parfois situés un casque assez imposant, et si ce n'est pas le cas, ce dernier sera sûrement au cou de la jeune fille pour être sûre de posséder à n'importe quelle seconde de la musique à proximité.

Sa musculature est fine et elle n'a pas de biceps, il faut dire que la seule chose qui pourrait être musclé chez elle, c'est : sa langue, ses mains, et ses oreilles. L'exercice n'est pas son fort après tout.

Quant à son style vestimentaire, elle aime tout ce qui est « beau » et ce qu'elle porte bien. Elle peut passer de la chemise et du jeans à la robe moulante de soirée si cela lui chante et si elle l'enchante, rien ne l'en empêche et elle en profite pleinement. Tant qu'elle se sente belle, ça lui convient. Elle est capable de se priver de nourriture pendant une semaine si ça lui permet de rentrer dans un habit.

« Hon hon hon, qui suis-je ? Une simple gamine voyons. »

• Behind ... You ♫


→ Age : Quatorze année que mes pieds souillent cette terre et que ma famille doit me supporter. Quatorze années pendant les quelles j'ai du m'adapter.
→ T'as connu où le fow' ? : C'est cette tendre Seiki qui me l'a présenté, mais sachez d'hors-et-déjà que j'étais Mizora.
→ Et t'en penses quoi ? : Toujours aussi sublime, l'ambiance est agréable et le staff fort sympathique : une sorte de deuxième foyer si je puis dire.
→ T'as lu le règlement ?: Okey by Shizuo | Que c'est tendre tout cela. ♪
→ Autre Remarque ? : Aucune, à part que je m'excuse du style particulier de cette fiche. ♥



Dernière édition par Alivia Ells le Sam 2 Juin - 19:30, édité 17 fois
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Alivia Ells

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« On devient ce qu'on est grâce à notre passé et à l'histoire, alors pourquoi l'oublier ? »
• Part of a life ♫



« Only as I slowly freeze ; I reach for you ; I reach for you ; And now I know where no one’s ever been ; Right next to you ; Right next to you. »  32114314« Only as I slowly freeze ; I reach for you ; I reach for you ; And now I know where no one’s ever been ; Right next to you ; Right next to you. » - On course ; Oomph !

▫▪▫▪▫▪▫▪▫▪▫
    C.D. 1

Vous vous demandez sûrement ce que veut dire « C.D. », et bien cela signifie Canadien's day. Oh, mais pourquoi Canadien ? Parce que c'est ma nationalité pardi. Qui suis-je ? Qu'elles sont la significations de ces mots ? Je ne suis rien ; ces mots sont les miens : les mots d'un rien.

Je vis comme n'importe qui, je souris comme n'importe qui, je penses comme n'importe qui, je suis donc n'importe qui. Cela fait de moi une personne inexistante dans ce monde, car la banalité fait de nous des êtres invisibles aux yeux des autres. Je ne suis donc qu'un rien, qu'une chose, une personne que l'on ne peut considérer comme vraiment présente. Je n'ai aucune importance dans ce monde, je ne vois même pas pourquoi j'existe. Je ne parles pas, je ne fais que réfléchir et agir. On ne me voit pas, je ne bouges donc pas. Je suis celle dont personne ne connaît l'existence, je suis Alivia Ells.

Je ne me nommes ainsi que quand on me demande de me mouvoir ou de prononcer des mots, mais à mes yeux ce nom n'est pas le mien. C'est celui que l'on me donne, celui que l'on m'offre : mes à mes yeux je ne suis rien. Une personne de plus, une personne de moins, ce monde n'ira pas bien loin. Mon existence est futile, alors je me dissipes comme si je n'étais pas, comme si je ne devais être là. Je ne laisses derrière moi pas grand chose, à par peut-être quelques sourires ou quelques regards moqueurs.

Et je ne suis pas là.
Et on ne me voit pas.
Car je ne suis pas moi.
Et que je ne peux être toi.

On me pointe du doigt comme si de rien n'était, et pourtant je ne me sens même pas remarqué. Un enfant aura beau me montrer à sa mère, je suis sûre et certaine que jamais cette dernière ne m'offrirait un vague coup d’œil de sa part. Je suis donc inexistante. Je ne suis donc pas présente.

Je n'existe pas. Et puis voilà.

    C.D. 2

Mes parents dansent sur la table, l'alcool pleut encore à corde. Si seulement il se rendait compte que j'étais là, que leurs amis comptaient moins que moi. Mais je me tais, je ne dis rien : je me fond dans les murs comme si je n'étais qu'un pauvre morceau du papier peint. Ils dansent, encore et toujours. Ils ne font que ça, se tournant autour. Les choppes se lèvent en l'air, les bruits de verres résonnent, ils ont encore fait comme si la vaisselle n'avait pas de prix. Ce n'est pas grave, je ne suis pas là, je ne les entends pas, je ne les vois pas.

Ils crient, ils hurlent. Leurs connaissances applaudissent, l'une d'elle va vomir dans le lavabo. Ce n'est rien, ce soir je n'existes pas, mais demain, je serais encore présente pour nettoyer ça. Encore. Cette habitude n'est pas si bonne, mais cela me permettrait peut-être une carrière en tant que femme de ménage. Et personne ne voudra de moi, car on refusera ma présence, et ça ne sera pas que pour une fois.

Alors j’observe dans le silence, assise dans un coin de la salle. Personne ne me remarques. Je pourrais siffler, personne ne me verrait. Ce soir, c'est pour ne pas changer, une autre de ces soirées, où je n'aurais du pas dû exister.

    C.D. 3

L’alcool a fini par tomber, dans cette banale matinée, qui pourtant ne fut pas vraiment commencé, hormis dans la soirée. Des gens affalés sur le canapé, d'autre se vidant dans les W.C., je ne sais quoi penser. Ce n'est pas grand chose que de pointer du doigt quelqu'un qui se met à parler à un mur quand on est entrain de vomir dans des toilettes qui ne sont pas siennes.

Et ils dansent toujours, comme si de rien n'était. Des mains se baladent entre les deux, c'est normal, ils sont mariés. Une descend plus bas qu'elle ne doit, la gifle par toute seule, et je siffles pour stopper ceci.

La soirée vient de s’arrêter, aujourd'hui, je suis visible, j'ai du siffler pour me faire remarquer, et Dieu sait à quel point il m'est compliqué de devoir agir ainsi. Je n'attends pas que l'on me le disent, je montes sans rien dire. Il est tellement simple que de voir les gens ainsi, leurs cerveaux n'est pour moi qu'une sorte de puzzle. Je passe plus de temps à les comprendre qu'à me comprendre : parce qu'eux, au moins, ils ont une vie, une idée. Ils sont quelques choses. Et moi je n'existe pas, sauf dans ce cas.

Et j'y repense, à cette époque où je disais « Ma maman à moi, c'est la plus gentille des mama' ! Elle est toujours là pour moi et papa. » avec un sourire odieusement ridicule et niait sur le visage. A cette époque, l'âge du rien était de dix ans, aujourd'hui j'en ai quinze. Aujourd'hui je suis invisible.

Il faut croire qu'à une certaines époque de notre vie, on se met à disparaître des yeux des autres, sûrement à l'adolescence, peut-être même avant. Mais, si c'est pour nous oublier dans notre chambre ou dans un coin : pourquoi nous avoir fait naître ?

Je suis devenu un rien, je ne serais autre chose uniquement quand mon temps sera venu.
    C.D. 367

Elle me maudit, moi et ma fâcheuse manie de prendre des décisions qui n’aboutissent à rien. Elle me hait, elle qui m'a créait. Et pourtant … Et pourtant, si elle savait. Ce jour, ce n'était pas mon choix de rentrer plus tôt qui avait fait en sorte que ce paternel rentre dans un panneau de signalisation, mais ce fut le sien : celui de reboire, encore et encore, sachant pertinemment qu'il allait reconduire après.

Le père de la chose que je suis était un alcoolique, je ne le nies pas. A quoi cela servirait-il ? A strictement rien voyons, après tout, la vie d'une chose intéresse peu. Alors oui, mon père buvait, tout comme ma mère, il aimait nager dans ses rêves d'alcooliques. Et moi, je ne trouvais que les pensées pour cracher par terre au sol en pestant contre cette sorte de drogue si perfide qui abrutissait mes parents de jours en jours.

Aujourd'hui, ma mère maudit mon choix de faire un bac de musique. Je m'en fiches, j'ai le droit. Père n'est plus là pour me dire ce que je dois faire, mère ne pourra pas non plus : car je fais ma vie, et que de toute façon, si je loupes, ça ne sera pas elle qui se retrouvera au chaumage.

Elle cri, elle hurle. Encore. Toujours. Cela ne change pas beaucoup de d'habitude, elle ne sait faire que ça après tout. Se plaindre, lever la voix ; elle veut faire en sorte que la chose ne parle plus. Et bien soit.

Elle regarde de ses yeux bruns, comme si j'étais le monstre de la malédiction : un démon du malheur. Elle dit encore que tout est de ma faute, moi, une adolescente de seize ans qui ne peut que se taire en silence en attendant son temps.

Elle aura tort. C'est une habitude que personne ne niera, parce que personne ne s'en préoccupe. Alors j'attends : parce que je sais très bien ce qui se passera après.
    C.D. 732

Que Lucifer débarque dans ma chambre si ma génitrice n'a pas comprit ce qui se passait. Aujourd'hui encore, elle a fondu en larme quand je lui ai dis que père ne reviendrait plus. Il faut croire que le rhum et la vodka ne font pas bon ménage. Je sais déjà qu'elle ne pourra vraiment plus jamais repartir sur de bonnes bases avec moi à cause de ça. Mais qui s'en intéresse ? Uniquement elle et ses rêves idéalistes inutiles.

Je ne suis plus rien, je ne suis plus une chose : je suis un presque. J'arriverais peut-être à atteindre ce que je veux être, même si rien n'est sûr. Je m'en fiches, je m'en moques, j'en ris. Oh, si seulement elle savait à quel point il m'en écoutait de ne pas rire de son malheur dans son dos, à elle, cette pauvre personne si idiote et inutile qui me sert de parent.

Je ne suis plus ce que j'étais avant, et même si elle me voit encore comme ça : elle se trompe amplement. Je la vois déjà venir, elle, sur ses grands chevaux blancs, me susurrant à l'oreille d'une voix presque cruelle que de toute façon, je ne sers à rien à part apporter le malheur où je passes.

Elle a tord.
Et j'en ricanes encore.

Si elle savait que je me moquais de sa présence invisible lors des concerts des TMD, oh, si elle savait. Elle en pleurerait de savoir que je me moques de si elle les entends ou pas, de toute façon, je sais que ce n'est pas le cas.

Ma mère, n'en est pas une. Ce n'est qu'une harpie du diable qui essaie de donner son malheur aux autres. Si elle savait qu'elle était pitoyable, je suis sûre qu'elle se tairait avant que Voltaire ne sorte de sa tombe pour lui expliquer clairement sa philosophie et ses pensées sur les personnes comme elle.

Elle en pleurerait de honte.
Et j'en serrais heureuse.

En effet, je veux le malheur de cette personne que je me dois de supporter. Mais dans une année, tout sera terminé. La majorité sera présente, je quitterais ses terres qui furent autrefois miennes.

Et puis, je serais quelque chose.
    C.D. XXX

Les jours sont passés, je suis enfin « née » dans ce monde. Je ne peux qu'apprécier, cette sensation que l'on vient de me donner. Le fait de me sentir enfin importante, de savoir que j'existe, que j'existerais, encore et toujours. Cela peut paraître futile … Et pourtant, pourtant, si vous saviez. Je sais que quelque part, quelqu'un lit ces lignes, qu'il ne comprendra sûrement pas ma vie, qu'il la trouvera banale, et parfois stupide. Mais à mes yeux, elle est importante, car c'est mon histoire.

Je suis Alivia Ells, dix-huit ans, étudiante en conservatoire pour devenir musicienne. Ma mère n'a plus aucun contact avec moi et mon père est mort dans un accident de voiture. Je n'ai ni frère, ni sœur, le seul être qui mai comprit et que je ne peux oublier fut Glubule, mon poisson rouge qui est mort il y a deux ans.

Ma vie est pathétique, je le sais : je l'assumes. Je suis ce que l'on nomme idiote. Je ne suis qu'une enfant niaise qui croit le monde tout beau et tout jolie. C'est faux. Je suis une fille mature et qui n'a besoin de personne pour survivre. Je suis moi-même. Je suis là.

On se moquera sûrement de tout ce qui a était dit avant, et pourtant, c'était important. Je suis il, je suis elle. Je suis un rien dans un tout, mais si je trouve tout les autres rien, alors nous serons un tout. Je ne suis pas quelqu'un de très intelligente, mais je suis passionné. Je suis celle qu'on a créé. Je serais toujours cette dernière, malgré mon passé.

Un calque. On me copie colle, on tente de trouver quelqu'un qui me ressemble. Ce n'est pas le cas, comment voulez vous qu'il existe deux personnes identiques dans ce monde ? Je sais d'hors et déjà que personne ne comprendra ces mots qui se suivent. Je ne le nierais pas. Je suis bizarre.

Je n'ai pas étais maltraité, juste ignoré. Mais c'est mon histoire, pas la peine de la modifier. J'écrivais, toujours et encore dans ce journal, parce que je savais fort bien que ça m'aiderait plus tard, à me relever et à continuer d'avancer. Parce que jamais je n'abandonnerais.

Aujourd'hui, je vais te brûler journal. Parce que ça ne sert à rien de continuer. Demain, j'aurais dix-neuf ans, cela fera un ans que je me serais installé à Ikebukuro et que j'aurais vécus une vie remarquable. Si tout ce passe bien, j'y vivrais encore et toujours, longtemps ou peu ; mais j'y serais installé pour la fin de ma vie.

Demain, ça ne sera plus comme avant. Plus de pleures, juste du chant, de la musique et des sentiments. Je sais qui je suis, je sais ce que je serais. Parce que ma fille aura beau m'avoir traité comme une ratée, je sais désormais que dans ce monde, la seule et unique réussite, c'est d'être soit même.

Parce que jamais je n'oublierais tout ce que j'ai vécus.

Parce que ce fut la dernière fois que des choses étaient inscrites ici.

Adieu mon cher, et merci encore de m'avoir tant aidé.


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Alivia Ells

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Que dire ? Et bien, sachez que cette fiche est terminé. Oui oui, ce n'est pas une blague. Je suis plutôt fière de moi, il est rare depuis quelques mois que je termine une fiche aussi rapidement à mes yeux, alors je ne peux qu'être heureuse que de vous offrir ce personnage en aussi peu de temps. Certes, ma fiche me semble courte et peu concrétisant, alors n'hésitez pas à me dire si il y a quoi que ce soit à changer, après tout, je n'ai plus l'habitude d'écrire des fiches si courtes à mes yeux.

Je vous souhaites bonne lecture, en espérant que le style particulier de cette présentation ne vous dérangera pas et qu'il sera parlant. En sachant que je voulais qu'on ressente bien le malaise de cette enfant qui se sentait inexistante au cours de son histoire, je pense mettre pas mal débrouillé, en priant pour que ceci vous plaise.

Agréablem-... MAIS NON. DES PATES, DES PATES, OUI, MAIS DES PANZANI, HON HON HON ♥/MEURT/
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Shizuo Heiwajima

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Ahah, c'est un gêne Canadien d'être invisible ou bien ? //PAN//
Bref', je n'ai rien à dire ... Mis à part peut-être, attention aux fautes. Y'a pas de 's' au présent à la première personne personne de l'indicatif èwé
Et puiiiis ... Ben c'est tout, le reste est impecc', je ne vois pas pourquoi tu n'est pas satisfaire, moi j'aime ton perso' ♥ +w+

Pour moi, ce sera donc un grand OUI On se croirait à Incroyable Talent 8D.
Je pense que Kasuka me contre-dira pas xP
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J'aurais du la nommer Mathhewinette *meurt*
Pour les "s" j'ai vu qu'open office prenait alors je me suis dis "ha, tiens, et si j'en mettais partout ?" d'où tout ces s, c'est de la faute à OO. *meurt*
Haha, mon perso t'aime aussi Shizuo, comme tout le monde d'ailleurs ♪ Mais mon perso' préfère quand même Jimi Hendrix *dead*

Bon, et bien, si tout est parfait pour l'instant ... C'est tant mieux, hein. 8'D kasuka je t'attennnnds
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Kasuka Heiwajima

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Je valide aussi UN GRAND OUI!! Du deuxième membre du jury 8'D

et pareil je suis fière de toi o_o pour la rapidité de la pondaison de ce perso ! Tu m'as impressionnée sur ce coup là. Et ta fiche est très bien comme ça 83...déjà bien assez longue si tu veux mon avis X'D ...
J'adore ton perso j'ai hâte de lire tes rp ! ^_^

Ton ava est un peu trop petit par contre c'est 200*400 les mesures officielles mais même le grand manitou n'a rien dit alors 8D Bienvenue officiellement parmi nous... même si t'es déjà bien installée ^x^
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Shizuo Heiwajima

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Ben voilà, t'es officiellement validée 8D
Bon Rp parmi nous ~
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